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Un réseau privé est constitué de différents appareils et machines qui travaillent ensemble (partage de ressources) et ce réseau peut éventuellement s’ouvrir sur d’autres réseaux, Internet par exemple, et pour cela, le transfert de données se fait selon la technique NAT, l’adresse du réseau est cachée. Comme son nom l’indique, un réseau privé est un ensemble de machines qui travaillent étroitement ensemble, souvent pour des raisons de confidentialité, l’ouverture vers d’autres réseaux est alors accessoire, mais non impossible.

  1. Afin de ne rien oublier et de monter un réseau qui fonctionne, le plus commode est de faire un schéma du réseau à venir. Sur ce dernier seront figurés tous les appareils, ainsi que les connexions. Outre les ordinateurs devront figurer également la connexion à Internet, le pare-feu, le routeur, le serveur, le RPV, le commutateur ou le concentrateur… Comme vous aimez faire les choses bien, vous utiliserez les symboles normalisés de tous ces éléments.
    • Connexion à Internet : si votre réseau privé est prévu pour être connecté à Internet, ce qui n’est pas forcément le cas, vous devez indiquer sur votre schéma cette connexion vers l’extérieur. Le symbole habituel de cette connexion est un ou plusieurs nuages. Bien entendu, cela ne vaut que si votre réseau doit communiquer avec la Toile.
    • Le pare-feu : c’est un dispositif destiné à protéger un réseau des intrusions extérieures. Ce pare-feu est paramétré par vos soins en sorte de laisser certaines données et d’en interdire d’autres. Le tri s’effectue sur la base des ports, des protocoles qui tentent de pénétrer, mais aussi de leurs statuts. Pour compléter la protection, certains pare-feux sont dotés d’un antivirus  [1] . Selon qu’il est physique ou logiciel, le pare-feu est situé en amont ou en aval du routeur. Conventionnellement, le symbole du pare-feu est un mur de briques.
    • Le routeur : un routeur fait circuler des données entre deux interfaces réseau. Cela peut être entre un réseau privé et le réseau Internet, entre un réseau privé et un serveur ou encore entre plusieurs réseaux  [2] . Si votre routeur est connecté à Internet, tracez une ligne (connexion) entre le nuage et le routeur. Conventionnellement, un routeur est représenté par un cylindre bas sur le dessus duquel vous avez 4 flèches placées en croix, 2 sont orientées vers l’intérieur, les 2 autres vers l’extérieur. Parfois, les flèches sont orientées différemment. Un routeur sans fil est figuré de même avec en prime 2 petites antennes. Logique !
    • Le RPV (« Réseau privé virtuel ») : un RPV permet à un réseau d’être connecté anonymement à Internet. Aucune attaque ne peut être lancée contre l’un quelconque des appareils du réseau, leurs adresses n’apparaissant pas. Une requête est envoyée depuis un appareil du réseau, le serveur RPV la reçoit et l’envoie sous son adresse IP, puis vous renvoie la réponse  [3] . Le symbole d’un RPV est un cadenas généralement fermé.
    • Le serveur : un serveur remplit de nombreuses fonctions, comme le stockage de données et des programmes qui seront utilisés sur tous les ordinateurs connectés à un réseau. Un serveur est branché sur le routeur. Un serveur est représenté par une unité centrale, souvent complétée par un symbole qui permet de différencier les serveurs.
    • Les commutateurs (switches) et les concentrateurs (hubs) : ils distribuent les données entre les appareils du réseau. La différence entre les deux, même si c’est un peu plus compliqué que ce que nous allons dire, est que le concentrateur ne trie pas les données (il les envoie à tous les postes du réseau), tandis que le commutateur fait une sélection en n’envoyant des données que sur les postes qui en ont besoin, cela libère de la bande passante  [4] . Sur un schéma, tous deux sont représentés par un parallélépipède bas, avec une seule flèche pour le concentrateur et plusieurs pour le commutateur.
    • Les ordinateurs : schématiquement, les ordinateurs sur le schéma d’un réseau sont représentés par… des ordinateurs avec clavier. Les ordiphones et tablettes sont représentés de même de façon réaliste. Les ordinateurs sont connectés au commutateur (ou au concentrateur), lequel est à son tour connecté au routeur, soit directement soit derrière un pare-feu.
    • Les liaisons : elles sont représentées tout simplement par des lignes entre les différents appareils et machines.
  2. C’est peut-être la partie la plus délicate. Chaque appareil connecté à un réseau a une adresse IP, comme une adresse postale qui permet de bien l’identifier. Les adresses IPv4 se présentent sous la forme : xxx.xxx.xxx.xxx, soit quatre nombres, compris entre 0 et 255 et séparés par des points (notation décimale à point, NDP ou DOT en anglais). L’adresse se décompose en deux parties : l’adresse réseau (3 premiers nombres) et l’adresse de l’hôte (dernier nombre). Pour information seulement : si le premier nombre est compris entre 240 et 255, l’on est dans la zone des adresses réservées aux expérimentations, ce qui est hors de propos pour notre article.
    • La classe d’adresse IP : une adresse IP est divisée en deux parties : une partie pour identifier le réseau ( n ), l’autre partie pour l’identification d’un poste du réseau ( x )
      • Lorsque le premier nombre d’une adresse est compris entre 0 et 126 (de type nnn .xxx.xxx.xxx, par exemple, 10.xxx.xxx.xxx), c’est une adresse IP de classe A.
      • Lorsque le premier nombre est compris entre 128 et 191 - nnn.nnn .xxx.xxx (par exemple, 172.16.xxx.xxx), c’est une adresse IP de classe B.
      • Lorsque le premier nombre est compris entre 192 et 223 - nnn.nnn.nnn .xxx (par exemple, 192.168.1.xxx), c’est une adresse IP de classe C.
      • Les adresses IP dont le premier nombre est compris entre 224 et 239 sont utilisées pour les communications multidiffusion.
    • La première partie d’une adresse IP désigne donc un réseau, tandis que le reste désigne un appareil particulier du réseau.
    • Avec une adresse IP, quelle que soit sa classe, va une plage d’adresses pour les hôtes du réseau : pour l’adresse de classe B 172.16.xxx.xxx, la plage d’adresses des hôtes va en théorie de 172.16.0.0 à 172.16.255.255.
    • La première adresse de la plage est l’adresse réseau : dans notre exemple (172.16.xxx.xxx), l’adresse réseau est 172.16.0.0. Cette adresse ne peut être celle d’un appareil du réseau, puisqu’elle est celle du réseau dans son entier.
    • La dernière adresse de la plage est l’adresse de diffusion : dans notre exemple (172.16.xxx.xxx), l’adresse de diffusion est 172.16.255.255. De même que la précédente, elle ne peut pas être assignée à l’un quelconque des appareils du réseau.
    • Hormis ces 2 adresses, toutes les autres de la plage peuvent être attribuées, chacune à un seul élément du réseau (ordinateurs, mais aussi imprimantes en réseau, ordiphones, etc.), ce sont des adresses locales ou privées. Dans notre exemple, vous allez pouvoir attribuer à chaque élément du réseau une adresse comprise entre 172.16.0.1 et 172.16.255.254.
    • Adresse de l’hôte, adresse locale, adresse privée, autant d’appellations d’une même adresse, celle, par exemple, d’un ordinateur désormais clairement identifié sur le réseau.
  3. Un réseau est un ensemble d’équipements reliés entre eux. Partant, il existe divers réseaux, certains avec routeur, d’autres sans. Nous prendrons comme exemple un réseau simple sans routeur interne, et si routeur il y avait, il servirait d’interface avec un autre réseau, Internet pour faire simple. Votre réseau domestique est alors considéré comme un tout, un seul réseau.
    • S’il y a d’autres routeurs non connectés sur l’extérieur (Internet), vu de haut, ce sont des routeurs internes . Votre réseau privé devient alors un Intranet. Chacun des routeurs a une adresse IP qui génère une certaine plage d’adresses. Sur un sous-réseau, les éléments communiquent entre eux par le biais du routeur et les routeurs communiquent entre eux, ce qui met en relation tous les sous-réseaux.
  4. Il est hors de question d’utiliser une même adresse locale pour 2 machines différentes. C’est pourquoi vous allez, en fonction du nombre de machines sur votre réseau, choisir la classe des adresses IP. Un réseau de classe C (par exemple, 192.168.0.x) peut comporter jusqu’à 254 terminaux, dont les adresses iront de 192.168.0.1 à 192.168.0.254. Si vous avez plus de 255 appareils sur un réseau, deux solutions s’offrent à vous : ou construire un réseau de classe B (par exemple, 172.16.x.x) ou subdiviser votre réseau en sous-réseaux, chacun derrière un routeur.
  5. Prenons comme exemple une adresse de classe C : 192.168.2.x. Si vous comptez installer d’autres réseaux, ils seront bien individualisés sur le schéma, chacun avec son adresse réseau.
  6. Vous avez le choix, pour la partie hôte entre 1 et 254. Sur votre schéma de montage, pour vous y retrouver, vous indiquerez soit l’adresse complète (ce qui est mieux, par exemple, 192.168.2.5), soit la seule partie hôte (.5). Les adresses complètes peuvent se mettre pour quelques machines, mais, quand il y a plus de 50 machines, les seules parties hôtes permettent de gagner du temps et rendent plus lisible votre schéma.
    • Dans la configuration que l’on a choisie, les commutateurs n’auront pas besoin d’adresse. Quant aux routeurs, ils en auront besoin, ce que nous verrons plus loin dans l’article.
  7. L’adresse 192.168.2.x est de classe C, l’adresse du masque est donc 255.255.255.0. Ce masque définit quelle partie de l’adresse IP identifie le réseau et quelle partie identifie l’hôte.
    • Avec les adresses de classe A, l’adresse du masque est 255.0.0.0, pour celles de classe B, 255.255.0.0, etc.
  8. Vous allez avoir besoin d’ordinateurs, d’un routeur, d’un commutateur, de câbles…, enfin, tout ce qui se trouve sur votre schéma. Un réseau RJ45 se monte en étoile : à l’aide de câbles RJ45 (8 broches, 4 paires torsadées), branchez chaque appareil (ordinateurs, imprimantes…) du réseau sur le commutateur. Ensuite, sur ce commutateur, vous allez éventuellement brancher un serveur de données, un routeur Internet, etc.
    • Si vous opérez des changements lors des branchements, n’oubliez pas de rectifier votre schéma.
    • Sur le marché existent de petits routeurs spécialement conçus pour permettre à plusieurs utilisateurs d’utiliser une seule et même connexion Internet. Le protocole PAT de certains routeurs permet aux utilisateurs du réseau d’accéder à un autre réseau avec une seule adresse publique. Cela évite d’avoir à s’abonner et même, certains fournisseurs interdisent ce genre de pratique. Si vous en installez un, vous le considèrerez comme un hôte du réseau. Si vous utilisez un routeur plus classique avec deux interfaces, l’une pour la partie privée l’autre pour l’externe, vous assignerez à la première une adresse IP locale, l’adresse IP publique servant alors à l’interface Internet et devrez configurer manuellement le NAT/PAT.
    • Avec un seul routeur, l’adresse qui lui sert à communiquer avec le réseau privé est aussi la passerelle par défaut et l’adresse du serveur distant. Cette adresse sera donc inscrite, sur chaque ordinateur, dans les paramètres de propriétés du protocole TCP/IP.
    • Les commutateurs sont peut-être plus chers, mais ils sont plus intéressants, car à la différence des concentrateurs, ils ciblent en quelque sorte les appareils devant recevoir telles ou telles données, ce qui économise beaucoup de bande passante et fluidifie ainsi la transmission des données. À l’opposé, les concentrateurs envoient, sans distinction aucune, les informations à tous les appareils du réseau, que ceux-ci les aient demandées ou non. La bande passante est vite saturée, les transmissions sont extrêmement lentes.
    • Si les ordinateurs du réseau sont équipés d’un pare-feu, vous allez devoir tous les configurer chaque pare-feu. Vous laisserez donc passer, grâce aux adresses IP locales, toutes les informations provenant des autres machines du réseau et interdirez toutes les autres. Cela se fait dans les préférences du système, rubrique Sécurité .
    • Aujourd’hui, les appareils sont munis de cartes réseaux capables de croiser les câbles (c’est une image !), si bien que, dans ce cas-là seulement, vous pouvez n’utiliser que du câble droit. Sinon, vous allez devoir respecter le type des câbles. En général, on utilise un câble croisé entre 2 appareils du même genre (2 PC, 2 commutateurs…). Par contre, entre un commutateur et un PC, il faut un câble droit. Les ports d’entrée d’un routeur font office de commutateur, là sont consultées les tables de routage. Pour cette raison, le routeur doit être considéré comme un commutateur.
  9. Démarrez ensuite tous les autres éléments du réseau (imprimante, par exemple).
  10. Pour ce faire, vous devez, sur chacun des ordinateurs, aller dans la partie des options Internet, l’opération varie selon que vous êtes sous Windows , macOS ou Linux . Repérez la section qui concerne le protocole TCP/IP. Si le bouton actif est Obtenir une adresse IP automatiquement , cliquez sur le bouton radio de dessous ( Utiliser l’adresse IP suivante ). Tapez alors l’adresse IP locale de l’ordinateur en question et en dessous, en masque de sous-réseau, tapez 255.255.255.0. En l’absence de routeur, laissez les champs Passerelle par défaut et Serveur DNS vides. Si le réseau est connecté à Internet grâce au protocole NAT, mettez l’adresse du routeur comme passerelle par défaut et comme serveur DNS. Si vous utilisez un routeur de dernière génération, ce paramétrage est inutile. Le routeur se chargera d’assigner des adresses réseau chaque fois que des données arriveront sur votre réseau.
    • Si votre réseau est subdivisé en sous-réseaux pilotés chacun par un routeur. Chacun de ces derniers devra avoir sa propre adresse réseau qui servira pour le sous-réseau qu’il gère. Cette adresse devra néanmoins être une adresse hôte (comme pour un des appareils du réseau) prise dans la plage d’adresses du réseau global. Le plus simple, avec un seul routeur interne, est de lui assigner la première adresse hôte disponible (192.168.1.1). Toute autre adresse prise dans la plage convient, sauf celle du réseau (192.168.1.0) et celle de la diffusion (192.168.1.255) !
    • Sur un réseau avec diverses machines (imprimantes, ordinateurs, disques externes…), l’adresse du routeur devient la passerelle par défaut pour toutes les machines du réseau. S’il y a un serveur DNS, il aura comme adresse celle du routeur qui donne accès à Internet. Sur des réseaux avec des routeurs connectés entre eux, il n’y a pas de passerelle par défaut. Sur des réseaux qui contiennent des routeurs et des appareils, l’un quelconque des routeurs peut servir de passerelle.
    • Quelle que soit sa taille, un réseau reste un réseau. Ainsi, deux routeurs qui seraient connectés constituent un réseau, échangeant entre eux à l’aide d’une adresse IP. Comme dans tout réseau, ils ont une adresse réseau et une adresse de diffusion, les autres adresses ne servent pas. Les petits routeurs domestiques, pour les petits réseaux, ne sont pas faits pour être branchés entre eux. Si vous faisiez cela, comprenez bien que les interfaces Ethernet travaillant avec le réseau privé sont en fait celles de ce qui fait office de commutateur à l’intérieur du routeur. C’est le routeur qui groupe tout en interne en utilisant qu’une seule interface, laquelle s’ouvre sur un autre réseau. En ce cas, une seule adresse IP est utilisée par tous et tous seront sur le même réseau.
    • Certains routeurs sont capables de gérer en parallèle plusieurs réseaux. Ils ont donc des interfaces logicielles, chacune ayant une adresse IP.
  11. Sans avoir besoin d’utiliser le réseau en fonctionnement réel, il est possible de voir si tout a été bien paramétré avec un test ping lancé depuis une invite de commande (ou terminal). Sous Windows, exécutez l’invite de commande en tapant cmd dans le menu Démarrer . Dans l’invite, tapez
    ping [adresse IP de l’ordinateur cible] (par exemple, 192.168.2.8). Si tout va bien, vous voyez s’afficher des statistiques. Testez ainsi tous les appareils du réseau, y compris le routeur. Si l’un des hôtes ne renvoie rien, il faut voir ce qui ne va pas, dans l’adressage en particulier.
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Avertissements

  • N’utilisez pas la plage d’adresses s’étendant de 127.0.0.0 à 127.255.255.255. Ce sont des adresses de bouclage local qui permettent de s’adresser à l’hôte local : lorsque vous l’appelez, votre ordinateur se parle à lui-même ! Pratique pour les pings !
  • Même si les adresses hôtes des machines d’un réseau sont à usage local et ne risquent donc pas de servir à la connexion en externe, il est quand même préférable de bien respecter l’adressage dans la plage prévue. À moins de bien s’y connaitre et de mettre des adresses très spécifiques pour un objectif bien particulier.
  • L’IANA (pour « Internet Assigned Numbers Authority ») a réservé trois blocs d’adresses pour les seuls réseaux privés, à savoir 10.0.0.0 à 10.255.255.255, 172.16.0.0 à 172.31.255 255 et 192.168.0.0 à 192.168.255.255.
  • Même les experts en réseaux, sauf pour de bonnes raisons, ne s’écartent jamais de cette façon d’adresser les hôtes d’un réseau. En effet, dans certains cas, attribuer des adresses en dehors des plages prévues peut venir perturber des réseaux externes. Les FAI (fournisseurs d’accès Internet) ont comme rôle de détecter ces adressages qui n’ont pas été faits selon la norme. Mine de rien, ils doivent éviter la désorganisation des réseaux. Aussi dès qu’ils détectent une adresse locale, qui plus est non conventionnelle, tentant de sortir du réseau d’origine, ils agissent, par exemple en refusant le service.
  • Il peut arriver qu’à la suite d’un problème logiciel, matériel ou d’une erreur de manipulation, une adresse privée se retrouve être une adresse publique. Cela arrive, par exemple, quand le routeur ne s’initialise pas correctement ou si vous connectez ultérieurement, sans faire attention, un de vos appareils à Internet.
  • Ne sortez pas des 3 classes d’adresses réservées aux réseaux privés, c’est une question de sécurité. Implémenter la translation d’adresses (NAT) pour les machines d’un réseau privé permet certes d’accéder par exemple à Internet grâce à des adresses à la volée, mais la sécurité n’est pas garantie. Outre-Atlantique, l’on estime même que c’est un « pare-feu du pauvre » !
  • Ne branchez pas plusieurs concentrateurs en topologie redondée. C’est certes pratique en cas de coupure d’un chemin (vous passez par un autre), mais pour des raisons longues à expliquer, il arrive que des paquets de données s’accumulent entre les concentrateurs, saturant progressivement la bande passante. Il en va de même des commutateurs montés de la même façon. Si vraiment vous souhaitez avoir des liens redondants, mais non des boucles, veillez à ce que le protocole STP soit activé (et supporté, bien sûr !) sur le commutateur. Son rôle est de vérifier que vous ne créez pas de boucles lorsque vous avez des chemins redondants dans votre réseau.
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