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Les enlèvements sont des faits qui se produisent partout dans le monde et pour des raisons variées. Les kidnappings impliquent des membres de la famille, des prédateurs sexuels et des individus à la recherche d'une rançon. Il n'existe pas d'enlèvement typique. De plus en plus de gens voyagent dans le monde et même si on conseille souvent de ne pas se laisser faire au moment d'un enlèvement, vous devriez aussi y réfléchir avec soin. Même si dans de rares occasions, il vaudrait quand même mieux que vous coopériez , la situation pourrait vous amener à vous enfuir rapidement et vous allez devoir penser vite et bien. Si vous savez déchiffrer le comportement de votre kidnappeur et si vous observez votre entourage, vous pourriez vous sauver la vie.

  1. Prenez des précautions pour éviter un enlèvement. Si vous marchez dans un lieu public, vous devez toujours savoir qui se trouve autour de vous. Restez sur le qui-vive (au lieu de vous enfermer dans votre monde avec vos écouteurs). Prenez l'habitude de trouver une issue de secours chaque fois que vous entrez dans un nouvel environnement. Évitez les ruelles sombres et les parkings et faites-vous accompagner. Ne faites pas face au mur pendant que vous mangez dehors. Verrouillez les fenêtres et les portes pendant la nuit. Gardez votre téléphone portable et d'autres matériels pour votre sécurité (par exemple un sifflet attaché à une chaine). Si vous voyagez à l'étranger, gardez avec vous un journal ou un magazine écrit dans la langue du pays. Lisez les précautions de voyage affichées en ligne.
    • Suivez votre intuition ou votre instinct. Si quelqu'un vous donne une mauvaise impression, écoutez votre instinct même s'il a l'air de vous dire des choses qui n'ont pas de sens. En écoutant votre instinct, vous pourriez éviter de vous faire kidnapper en entrant dans un magasin, en changeant de route ou en restant avec d'autres personnes.
    • Faites varier les trajets que vous empruntez et les heures où vous sortez pour qu'il soit plus difficile à un kidnappeur potentiel de prévoir vos allées et venues. Trouvez plusieurs façons de rentrer à la maison depuis votre bureau ou entre plusieurs lieux que vous fréquentez souvent.
  2. . Le kidnappeur a généralement l'avantage sur sa victime dès le début, car il a l'élément de surprise de son côté. Vous pouvez vous y préparer en évaluant votre situation avant que l'enlèvement se produise. Quel est le type d'enlèvement auquel vous allez probablement faire face ? Qu'allez-vous faire si quelqu'un essaye de vous kidnapper ? Répétez les différents scénarios possibles et vous serez prêt à agir sur le vif si quelqu'un venait à vous attaquer.
  3. Gardez avec vous une bombe lacrymogène, une matraque en acier extensible ou improvisez une arme avec vos clés que vous tenez par la chaine pour viser les yeux de votre agresseur. Lorsque vous tenez une clé entre vos doigts (pour vous défendre), vous pourriez vous faire très mal aux tendons de votre main. Cela pourrait provoquer des blessures graves.
    • S'il y a plusieurs hommes armés qui cherchent à obtenir une rançon en essayant de vous kidnapper dans un lieu isolé ou hostile où vous avez peu de chances de vous échapper, vous devez coopérer dès le début. Par exemple, c'est souvent le cas en Amérique du Sud où des kidnappeurs bien organisés enlèvent des hommes d'affaires pour demander des rançons. Environ 95 % des gens enlevés dans ce genre de situation sont libérés vivants et le risque de se faire tuer par l'agresseur est plus élevé pendant les premières minutes de l'enlèvement, lorsque quelque chose ne se passe pas comme prévu, généralement lorsque la victime essaye de s'échapper.
    • Si votre agresseur n'est pas armé, s'il vous agresse sexuellement et si vous êtes près d'autres personnes qui peuvent vous venir en aide, vous devez vous défendre ou faire tout ce qui vous est possible pour échapper à votre agresseur. C'est le cas de la plupart des enlèvements aux États-Unis et dans les autres pays développés et c'est généralement le cas si la victime est une femme ou un enfant.
  4. Si vous avez pris la décision de vous enfuir rapidement, essayez de vous rendre dans un lieu public sûr et continuez de crier à l'aide. Ne regardez pas en arrière et ne vous arrêtez pas de courir avant d'être en sécurité. Ce que vous pouvez appeler « en sécurité » dépend de la situation. La plupart du temps, il suffit de trouver un policier ou de vous fondre dans la foule, mais cette situation ne peut être sure que si vous expliquez au policier ou aux personnes dans la foule ce qu'il se passe. Si vous êtes un étranger dans un pays hostile, vous pourriez ne pas être en sécurité avant d'avoir atteint une patrouille militaire amicale ou votre ambassade.
  5. Vous pourriez ne pas pouvoir vous enfuir pendant longtemps, mais si vous arrivez à mettre un obstacle entre vous et lui, par exemple une rue bondée, un groupe de personnes ou même une voiture (vous pouvez en faire le tour s'il vous poursuit), vous pourrez le retarder suffisamment pour vous échapper ou pour l'amener à abandonner la poursuite.
  6. Appelez à l'aide. Ne criez pas. Vos cris vont donner du courage à votre agresseur et vous allez avoir l'air d'une proie. Ordonnez-lui d'abord de s'arrêter, puis demandez aux passants d'appeler la police. Les agresseurs obéissent souvent aux ordres directs, mais ils ne répondent pas aux cris. Vous voulez de l'aide, pas seulement des témoins. Cette technique est d'autant plus utile si vous vous trouvez près d'un lieu public où l'agresseur essaye de ne pas se faire remarquer pour que personne n'appelle ou n'avertisse la police. Dans le cas des enfants qui sont moins capables de se défendre ou de s'enfuir, leur seule chance de s'en sortir est souvent d'impliquer une troisième personne. Vous ne devez pas seulement crier à l'aide dans un élan de terreur, car les gens sont très forts pour ignorer ce genre d'appel. Vous devez crier en expliquant ce qu'il se passe et en décrivant votre agresseur si cela est possible : « il y a un homme avec un couteau qui me poursuit ! Il porte un haut bleu et un jean troué ! » Les enfants doivent apprendre à crier : « on essaye de me kidnapper ! Je ne connais pas cette personne ! » ou bien « au secours ! Ce n'est pas ma mère (mon père) ! » (vers les autres) ou « je ne te connais pas ! Laisse-moi tranquille ! » (vers leur agresseur). Cela devrait avoir pour effet de faire fuir l'agresseur ou de convaincre les passants que vous avez vraiment des problèmes et que vous ne plaisantez pas. Au pire, cela permettra aux témoins potentiels de donner une description précise de votre kidnappeur à la police.
  7. Malheureusement, les passants hésitent à intervenir au moment d'un enlèvement. Attirez l'attention de quelqu'un et demandez-leur d'intervenir en l'attrapant par les vêtements ou en le tenant tout en lui expliquant la situation (sans crier). Le passant est maintenant impliqué dans votre lutte contre votre agresseur, ce qui permet de vous donner beaucoup plus de chances de vous en sortir, surtout si vous êtes une femme ou un enfant. S'il n'y a personne autour de vous, vous pouvez vous tenir à un objet large, par exemple un réverbère, un parcomètre ou votre vélo. Si vous ne pouvez pas lui échapper, vous pouvez au moins l'empêcher de vous atteindre ou de vous enlever contre votre volonté.
  8. Battez-vous comme si votre vie en dépendait . En plus, c'est surement le cas. Battez-vous bec et ongles pour éviter que votre agresseur prenne le dessus. Même si tout le monde devrait suivre des cours d'autodéfense, vous ne devez généralement pas avoir de connaissance précise pour repousser une attaque. Vous ne devez pas non plus « gagner » le combat, vous ne devez vous battre que si vous pouvez vous défaire de votre agresseur ou pour prendre de l'avance lorsque vous vous enfuyez. Si votre agresseur est un prédateur sexuel et si vous pensez que vos chances de vous enfuir sont minces, vous devez continuer de vous défendre sans vous arrêter. Les violeurs sont à la recherche de proies faciles, pas d'une femme qui va se débattre sans arrêt. Si vous vous débattez suffisamment, il pourrait décider que vous lui donnez trop de fil à retordre et il pourrait abandonner. La plupart des agressions prennent fin aux premiers signes de résistance de la victime. Résistez d'abord verbalement, puis physiquement. Si la victime possède une arme, les chances de succès du kidnapping sont réduites de manière radicale.
    • Battez-vous comme vous le pouvez. Faites tout ce qu'il faut pour vous échapper, ce n'est pas un match de boxe. Attrapez n'importe quel objet lourd que vous avez sous la main pour vous en servir comme arme. Si vous avez une bombe lacrymogène ou un taser, n'hésitez pas à vous en servir. Cependant, si vous avez ce genre d'arme, vous devez commencer par vous entrainer à leur maniement. Une arme que vous avez oubliée dans votre sac est inutile. Cela demande de l'entrainement. Ne vous sentez pas en sécurité seulement parce que vous l'avez à portée de main. Si vous ne savez pas comment utiliser l'arme que vous possédez, vous donnez l'avantage à votre agresseur qui pourrait s'en servir contre vous. S'il vous maintient, n'ayez pas peur de le mordre pour vous sortir de son emprise. Les quelques secondes dont vous avez besoin pour vous enfuir peuvent vous être données par une réaction extrême, par exemple si vous le mordez à l'oreille, au doigt ou au nez.
    • Visez les points sensibles. Plantez-lui quelque chose dans les yeux, frappez-le au niveau de l'aine, du nez, de la gorge ou des reins, tapez avec votre pied dans son tibia, écrasez son pied avec votre talon ou tapez-lui dans le genou sur le côté. Vos coudes, vos genoux et la paume de vos mains sont de bonnes armes improvisées. Vous pouvez utiliser votre poing fermé comme un marteau, mais ne lui lancez pas au visage, sans entrainement, vous pourriez vous casser la main et ne pas lui faire mal. Essayez de faire le plus de dégâts possible à chaque coup et ne vous arrêtez pas jusqu'à ce que votre agresseur ne puisse plus représenter une menace. Un seul coup ne suffit pas, vous pourriez le sonner et le mettre en colère. Votre but est de faire cesser le kidnapping et cela demande une certaine quantité de dégâts infligés à votre adversaire. Votre but ne doit jamais être de le tuer, mais de faire cesser l'attaque. La mort pourrait être un effet secondaire de vos efforts à mettre fin à l'agression. Quoi que vous décidiez de faire, une fois que vous avez commencé à vous défendre, ne vous arrêtez pas avant d'être certain de pouvoir vous enfuir et vous mettre en sécurité. Maintenant, votre agresseur est énervé et il va probablement courir plus vite que vous. Tapez avec vos coudes et vos genoux jusqu'à ce que l'agresseur ne puisse plus continuer à se battre. Ensuite, rendez-vous à la police.
    • Ne gigotez pas dans tous les sens. Si vous vous débattez pour vous en sortir, vous ne provoquerez que ce que la police appelle des « marques de défense » sur votre agresseur et tout ce que vous obtiendrez, ce sera des traces d'ADN sous les ongles que la police pourra recueillir sur votre cadavre. La plupart du temps, vous pouvez le mordre pour vous échapper. Si vous le pouvez, enfoncez vos doigts dans ses yeux, dans sa gorge ou dans son aine. Si vous mordez une petite zone avec les incisives (comme si vous le pinciez), vous allez lui provoquer beaucoup plus de douleurs que si vous le mordiez à pleines dents. Une fois que vous vous êtes défait de son emprise, frappez-le le plus possible avec le coude ou les genoux jusqu'à ce que vous soyez sûr que vous pouvez vous échapper en toute sécurité.
  9. Appelez les secours . Si vous avez un téléphone portable, composez le numéro des urgences pour votre pays (le 112 pour la France). Si vous arrivez à laisser une certaine distance entre vous et votre assaillant, la police pourrait arriver rapidement et lui faire peur. Cependant, si vous vous faites maitriser tout de suite, essayez de cacher votre téléphone et appelez la police lorsqu'il a le dos tourné. Si vous n'avez pas de téléphone portable, utilisez le premier téléphone que vous trouvez. Vous pouvez utiliser une cabine téléphonique, vous pourriez même vous y réfugier. S'il n'a pas la possibilité de vous enlever immédiatement, il pourrait prendre la fuite, en croyant que la police est déjà en chemin. Si vous êtes arrivé à vous échapper, courez vous réfugier dans un magasin ou une maison près de là et expliquez-leur ce qu'il se passe pour qu'ils appellent la police. Souvenez-vous de ces trois étapes : mettez-vous à l'abri, appelez la police et créez des témoins.
  10. Mentez à propos d'avantages que vous pourriez avoir. Vous devez faire tout et n'importe quoi pour que votre agresseur pense qu'il n'est pas en sécurité. Cela signifie aussi que vous devez mentir à propos d'avantages que vous pourriez avoir sur lui.
    • « Mon père est commissaire de police. Tu ne veux pas avoir affaire à lui ».
    • « Je souffre de pneumonie diabétique anhydre chronique (c'est une maladie inventée). Je dois prendre des médicaments toutes les trois heures sinon je meurs. Si tu m'enlèves, tu vas être accusé de meurtre, quoi qu'il se passe ».
    • « Il y a un commissariat juste à côté. Pourquoi essayes-tu de m'enlever ici ? »
    • Trouvez un dispositif qui a l'air d'avoir été installé par un organisme officiel et assurez-lui qu'il est équipé de caméras : « il y a un distributeur de billets ici. Tu sais qu'ils sont équipés de caméras cachées, n'est-ce pas ? » Si vous voyez quelque chose qui ressemble de loin à une caméra : « tu sais que c'est une caméra de surveillance, n'est-ce pas ? »
    • Il vaudrait mieux que vous appeliez la police, mais si pour une raison ou pour une autre, cela n'est pas possible, vous devriez toujours dire à votre assaillant qu'elle est en chemin. « J'ai appuyé sur le bouton de détresse sur mon téléphone, la police est déjà en chemin. Si tu t'enfuis maintenant, tu n'auras pas de problème ».
    • Si vous vous trouvez dans votre quartier, mentez-lui et dites-lui que votre voisin ou que votre quartier est équipé de caméras de surveillance ou qu'il y a une patrouille de surveillance qui avertit la police de gestes suspects. Dans tous les cas, si vous êtes dans une rue bordée de maisons, il y aura toujours des gens à l'intérieur qui vont appeler la police.
    • Si vous êtes dans un autre quartier ou près d'une maison, dites-lui que vous habitez là et que vous rentrez chez vous. Ne lui montrez pas que ce n'est pas votre maison. Vous pouvez frapper à la porte ou faire semblant de frapper et d'appeler votre mère, votre frère ou votre ami en attendant qu'il vous ouvre la porte.
  11. Si tous vos efforts pour repousser l'enlèvement sont en vain, il existe de nombreuses choses que vous pouvez faire pour vous aider à survivre cette situation compliquée.
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Conseils

  • S'il vous met dans le coffre de la voiture, essayez de vous échapper . Si vous n'arrivez pas à en sortir, essayez de vous frayer un chemin dans le panneau qui mène aux feux arrière et cassez les lumières. Vous pouvez aussi arriver à faire sortir votre bras par là pour avertir les autres usagers que vous êtes dans le coffre. Si vous ne pouvez pas casser les lumières, déconnectez au moins les câbles pour que la police arrête le conducteur. En plus, criez à l'aide et tapez contre le coffre chaque fois que le véhicule s'arrête ou avance lentement. De nombreuses voitures récentes possèdent aussi un levier d'urgence dans le coffre pour l'ouvrir depuis l'intérieur. Si le conducteur ne l'a pas désactivé, vous pouvez tirer dessus pour ouvrir le coffre.
  • S'il vous tient par les bras, tapez plusieurs fois du pied en arrière (comme un cheval qui fait une ruade) et visez l'aine, le genou ou le tibia.
  • Évitez de vous faire immobiliser. Une fois qu'il vous a immobilisé avec des menottes, du ruban adhésif ou de la corde, vous avez beaucoup moins de chances de pouvoir vous enfuir. Vous devez agir rapidement pour éviter de vous faire immobiliser. Si vous voulez vous défendre ou vous enfuir, faites-le tout de suite. Vous n'aurez cependant pas de seconde chance.
  • Concentrez-vous sur le visage de votre agresseur si celui-ci est armé. La plupart des gens ne quittent pas des yeux l'arme et ils ne sont pas capables de décrire le visage de l'agresseur à la police après s'être enfuis.
  • Si vous avez l'impression que quelqu'un vous suit, mais si vous ne vous sentez pas menacé, tournez-vous pour voir qui c'est. De cette façon, cet individu sait que vous avez vu son visage, si bien sûr il ne porte pas de masque. N'oubliez pas que quelqu'un qui vous suit est une menace potentielle.
  • Si vous vous trouvez dans une région où les gens parlent une autre langue que la vôtre, apprenez-en quelques phrases pour vous aider à vous enfuir ou à vous mettre en sécurité. Les gens sont plus enclins à aider les personnes avec lesquelles ils sentent une certaine connexion et s'ils ne vous comprennent pas, ils ne pourront pas vous aider !
  • S'il vous attrape par le bras, croisez les bras et appliquez le plus de pression possible vers le bas.
  • Donnez-lui des coups de tête pour lui casser le nez.
  • Vous pouvez aussi le mordre s'il vous retient.
  • Votre coude est votre arme la plus solide. Servez-vous-en pour taper partout où vous le pouvez.
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Avertissements

  • Votre agresseur va probablement se mettre en colère lorsque vous vous rebiffez, surtout si vous le blessez. Même si cela pourrait suffire à en faire fuir certains, d'autres vont renchérir de plus belle. Ne retenez pas vos coups lorsque vous essayez de blesser votre agresseur, dans ce genre de situation, tous les coups sont permis. Vous devez prendre la fuite immédiatement dès que vous arrivez à le sonner ou à le mettre hors d'état de nuire, car s'il vous capture après, il va être très en colère.
  • Si vous avez quelque chose de liquide ou un gel (par exemple un rouge à lèvres ou un gel désinfectant pour les mains), essayez de lui en mettre dans les yeux ou sur le visage. Il pourrait s'arrêter pour s'essuyer, ce qui vous donne de précieuses secondes pour vous enfuir.
  • N'oubliez pas que si vous vous faites prendre après vous être enfui, vous n'allez probablement pas avoir d'autres occasions de vous enfuir de nouveau. Courez le plus vite possible.
  • Si vous choisissez de garder une arme sur vous, entrainez-vous à la manipuler correctement et assurez-vous d'être prêt à l'utiliser si la situation le dicte. Il est possible que votre agresseur la retourne contre vous.
  • Il est possible de se faire enlever par une femme, ne croyez pas que seul un homme est en mesure de vous enlever.
  • En règle générale, vous devriez essayer de vous défendre le mieux possible, mais utilisez quand même votre bon sens. Si vos assaillants sont trop nombreux et s'ils sont équipés d'armes mortelles, vous devriez peut-être coopérer et essayer de vous enfuir plus tard. C'est encore plus vrai si vous pensez qu'ils vous kidnappent pour demander une rançon, ce qui signifie alors que votre vie n'est probablement pas en danger.
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Références

  1. U.S. Marine Corps The Individual's Guide for Understanding and Surviving Terrorism (US Marines publication)
  2. CNN.com Des astuces pour aider un enfant à survive une tentative d'enlèvement

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